- L’hydrogène brun est fabriqué par chimie de le liquide à partir d’électricité provenant absolument d’énergie reconductible ; - L’hydrogène gris est fabriqué par procédés thermochimiques avec comme matières premières des sources fossiles ( charbon ou gaz de combat ) ; - L’hydrogène apprenti est conçu pareillement que l’hydrogène gris, à la différence que le CO2 lancé pendant la construction sera capté afin d'être réutilisé ou stocké ; - L’hydrogène jaune, plus particulier à la France, est construit par électrolyse comme l’hydrogène brun mais l’électricité provient essentiellement de les kcalories nucléaire. L’Ademe a dans l'année suggéré de changer la terminologie. L’hydrogène qui était jusqu’ici appelé « vert » est désormais nommé « reconductible », l’hydrogène « gris » se fait « suranné », et enfin, les hydrogènes « apprenti » et « jaune » sont civilisés sous le terme « bas-carbone ». Une fois fabriqué, cet hydrogène devra être stocké, puis excité jusqu’à son pays de distribution et d’utilisation.
Le stockage d’énergie sous forme d’hydrogène donne la possibilité de faire face à l’intermittence des forces renouvelables ( éolien et solaire ) en optimisant la puissance de production électrique. Dans la situation du développement d’un mix électrique renouvelable, l’électrolyse donne dissocier l’hydrogène et l’oxygène la possibilité, quand le réseau est en surplus ( c’est-à -dire quand la réalisation d’électricité est au dessus de sa dépense ), d'accaparer de l’hydrogène sur un un peu ou long en conséquence. Dans le cas d’un réseau déficitaire au opposé, l’hydrogène libre peut être réutilisé dans une sonnantes à manne pour fabriquer de l’électricité.
Le déploiement de l’hydrogène renouvelable est affirmé. usage intense Des projets de conséquente masse se montent comme NortH2, plus grand besoin de conception d’hydrogène très mur d’Europe. Objectif : produire de l'hydrogène très mur grâce de l'électricité reconductible natif de l'éolien extraterritorial au dehors des pays-bas.